https://twitter.com/_AlexGraf/status/1332081983879569415?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1332081983879569415%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2F9to5mac.com%2F2020%2F11%2F27%2Farm-windows-virtualization-m1-mac%2F
Graf a également pu exécuter certaines applications x86 sur cette version de Windows pour architecture ARM64 avec des résultats qui selon lui sont comparables, même s'ils sont inférieurs peut-être en raison de la virtualisation de l'OS, à ceux de Rosetta 2.
Le développeur a pu y parvenir en exécutant Windows ARM64 Insider Preview en le virtualisant via Hyperviseur.framework. Ce framework permet aux utilisateurs d'interagir avec les technologies de virtualisation dans l'espace utilisateur sans avoir à écrire des extensions de noyau (KEXT), selon 9-to5 Mac qui a partagé la nouvelle.
De plus, cela cela n'aurait pas été possible sans l'application d'un correctif personnalisé au système de virtualisation QEMU. QEMU est un émulateur open source connu pour "atteindre des performances quasi natives" en exécutant le code hôte directement sur le processeur hôte. Alors il va sans dire que seuls les systèmes invités ARM peuvent être parfaitement virtualisés sur les appareils ARM comme les Mac à puce M1.
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Les utilisateurs les plus geeks peuvent essayer le système utilisé par Graf en suivant les instructions écrites par le développeur. Bien que le processus soit reproductible sans problèmes majeurs par des utilisateurs expérimentés, rappelle le développeur, il ne donne pas accès à un système véritablement stable.
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Windows ARM sur Mac M1 ? Oui, et ça a l'air de très bien fonctionner !
